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Speeding stars .

Samedi 28 février 2009 à 21:08

Le bonheur est là où l'on ne l'attend pas.

Ne le cherchez pas.

    Oui on peut trouver le bonheur en haut d'un télésiège en chantant une chanson complétement idiote mais totallement distrayante. Loin de là tous klaxons et sirènes de pompiers, laisser place à la liberté. En haut , entouré de montagnes tu te sens surpuissant, innateignable, Vivant.

J'ai besoin d'air. Vous arrive t-il parfois de ressentir ce sentiment incontrolable de vous asseoir sur votre lit après etre rentré de vacances et de vous imaginer mentalement là-bas... Physiquement ici, mentalement là-bas.

Je suis assise sur mon lit. L'ordinateur sur les genoux, les doigts qui pianotent sur le clavier, les pieds dans la neige, la tête presque au niveau des étoiles.  Voile.
Je ne vois plus rien, je ne veux plus rien entendre, laisser moi m'habituer, ce retour à la realité non souhaité sera dur à encaisser. Je ne vais pas faire la crise de larme, loin de la tout les artificices, Je veux juste profiter encore un peu.


Mouahhahahaha, la carte bleue comme Mediator, J'aime =)

http://image-in.cowblog.fr/images/sarenne1.jpg

Mots d'une inconnue

Vendredi 20 février 2009 à 2:20


Trève de blablaabla compliqué, Parlons simplement. tiens, Je viens de terminer Le pianiste. Ce livre écrit par Wladislaw Szpilman (Sii j'vous assure, à force on arrive à l'écrire sans vérifier). Pour moi ca a été la preuve qu'un bon livre ne vient pas forcément d'un bon écrivain. Meme si le style de Szpilman est léger, il reste quelconque. Mais ce qui touche le plus, c'est la simplicité. Le sujet par lui-même, Qui traite de la Seconde guerre Mondiale et du nazisme, est expressif. La simple mise à l'écrit de la bouleversante histoire de ce pianisite suffit à vous toucher au plus profond. Le narrateur qui a tout simplement vécu l'horreur, nous décrit le quotidien en temps de déportations et concentrations. Lui qui a vu un à un ces proches disparaitre, lui qui a été réduit à boire de l'eau croupie gelée pour survivre. Bouleversée. Des evenements qui nous paraitraient démentiels, décrits de manière presque anodine , ça choque, Les mots sont durs, Même notre imagination ne peut interpreter cela. Comme dit mon Grand-Père: Il faut l'avoir vécu pour comprendre.

" Je pense que la situation aurait été plus supportable, sur le plan psychologique, si notre emprisonnement avait été plus patent-Bloqués à double tour dans une cellule par exemple. [...] Aucune illusion n'est possible, dans ce cas: le cachot est un unviers en soi, qui ne contient que de l'enfermement et n'entretient aucun contact avec cette planète lointaine où les hommes vont et viennent sans entrave. Si vous en avez le temps et l'envie, vous pouvez en rever de cet autre monde; mais si vous decidez de l'oublier il ne viendra pas s'imposer à vous de lui meme. [...] La vie dans le guetto etait d'autant plus atroce qu'elle gardait les apparences de la liberté, aucontraire. Il suffisait de descendre dans la rue pour avoir l'impression trompeuse de se trouver au milieu d'une ville comme les autres.[...] Mais les rues du guetto, et elles seules, se finissaient toutes contre un mur. "

Szpilman, Parlant du ghetto de Varsovie dans lequel furent enfermés pendant le début de la guerre, tous les juifs de Varsovie .


AAAh. Et bin non pas d'inspiration , sans aucune acclamations ni émotions. Il est 2h16, 46 Cowblogeurs, 4contacts msn, 3 contacts Facebook et J'arrive pas à desactiver l'option gras et italique.

Et un articlee à aller lire chez Associée de bonheur =)


Mots d'une inconnue

Jeudi 12 février 2009 à 23:23

Sur le fil de l'oubli, j'avancerais
Mais sans toi , le fil distendu,
Annoncera ma chutee innatendue. 
_________________________________

           

     RESPIRER. (Soupirer)
*
Pouaah, Help je fatiguuue. Raisons indécises, comportements incertains, Je ne suis plus votre train. Partez, Partez, Convoi du bonheur , Ou convoi vers l'horreur? Je ne sais plus, je ne veux plus . Alors oui je reste à quai, je vous vois vous éloigner, les larmes ne viennent pas; Puisque c'est notre destin, Rendez-vous à l'autre train. Quelques temps plus tard, les voila réunis, seuls dans l'oubli, Temps gagné, temps perdu, dépend de chaque point de vue. Sur le fil, j'aurais chu...

Mots d'une inconnue

Dimanche 8 février 2009 à 16:35



 

" L'arme à la main et la larme à l'oeil,
Oui je vais tirer, répandre le deuil.
Et je vais pleurer ta vie que je cueille,
Ma Patrie me décore pour avoir ta mort."

..

"L'arme à la main et la larme à l'oeil,
oui tu as tiré, répandu le deuil,
Ma mere va pleurer, ma vie que tu cueille.
Ma partie m'offrira un joli cercueil."


Ame Armée. Ina Ich

Mots d'une inconnue

Samedi 7 février 2009 à 22:10

Cette chanson indéfinissable,
Aux notes qui soulagent,
Annoncerait-elle, De beaux présages ? 

           


                Oui,j'en avais les larmes aux yeux.



Ca y 'est je suis lancée. D"un débat fort engagé avec Ju' est née cette question, Mais y'a quoi après l'univers, parce que comme des cons on nous parle de la Terre, qui est dans le système solaire, Qui est dans la galaxie, qui est dansl'univers. Et là, plus rien, le noir complet, L'univers, il est dans quoi, Lui? Là rentre la notion de l'infini; Méthode de facilité utilisée pour les savants afin de mettre un nom sur leur ignorance. Mais l'homme n'est qu'un être qui apprivoise son cerveau afin d'essayer de comprendre l'incompréhensible. Mettant des noms qui se disent scientifiques et venus du Grec sur des choses dont il a décrété qu'elles seraient ansi, Je vous l'accorde partant ainsi, plus rien n'a de sens, Le mot sens en lui même n'a plus de sens . J'ai soif de savoir, savoir d'où l'on vient, savoir ce que l'on deviendra, Comment cela a commencer, comment cela finira, Toutes ces questions qui marqueront les étapes de mon existence, et qui me laisseront ainsi dans mon ignorance...
 

Mots d'une inconnue

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