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Speeding stars .

Dimanche 2 janvier 2011 à 23:05

                             
                        Non c'est vrai ce n'est pas de ma faute, au fond c'est même presque la tienne. C'est toi , c'est ton sourire, c'est ton rire c'est tes yeux c'est ta joie, c'est ton être, c'est tout ça qui fait que je m'attache trop à toi parfois. Mais je n'y peux rien, toi non plus d'ailleurs, tu fais rien, c'est ça qui est bien, c'est que c'est pour ce que tu es que je t'aime. Je t'en ai fait des déclarations, il y a même des jours où je pourrais te le répéter des heures que je t'aime. Mais à force c'est agaçant, alors c'est ici que je lâche tout. Tu ne comprends pas, tu ne comprends pas l'intérêt de ce blog puisque personne ne le connait, mais c'est pas grave, c'est juste pour moi le moyen de tout lâcher. Tout ce qui déborde , je le refoule ici, comme la mer qui doucement ramène ces vagues sur le bord. C'est pour ça même que tu ne dois pas le lire, parce qu'ici, quand je viens, c'est pour ne pas t'embêter, pour te laisser vivre ta vie quand la mienne ne se résume que trop à toi . J'ai l'équilibre parfois néanmoins. Ces vacances furent complètes, de la famille, des amis et de l'amour. Toi, mon amour. On l'a fait, oui on y est allé , tu m'avais dit que tu m'emmènerais à Amsterdam et tu l'as fait. Comment veux tu que mon amour pour toi se résorbe alors. Mais toi aussi, tu es amoureux, toi , tu me l'as dit, hier soir. C'était beau. En une semaine ça fait quatre nuits où je dors dans tes bras, c'est peut être pour ça mon coup de blues de ce soir, c'est tes bras, ta chaleur, ton corps qui me manquent. On est encore jeunes. Mais on en vit des choses. Et on va trop vite parfois, et on s'emmêle un peu d'autres fois, on se rentre dedans de temps en temps, mais au final on s'aime, et c'est simple à dire, mais ça emporte tout le reste, loin , loin, loin , loin vers d'autres horizons. Le soleil est toujours plus beau de notre côté.


"On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit: J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelques fois; mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu , et non pas un être factice crée par mon orgueil et mon ennui." On ne badine pas avec l'amour, Musset.


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Mots d'une inconnue

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