C'est long une allée de cimetière, très long.
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Speeding stars .
Mardi 27 octobre 2009 à 12:18
C'est long une allée de cimetière, très long.
Mots d'une inconnue
Dimanche 18 octobre 2009 à 22:33
Prends une station de métro, au hasard, celle que tu veux.
[ ***** ]
Et d'ici part un grand périple, à cette station , un bruit lourd a retentit, le métro arrivait, une femme a glissé pour l'attraper , rien de grave, le quotidien du métro parisien. Trois stations plus loin il l'embrasse, enfin, elle n'y croyait plus, au milieu de tous les autres voyageurs, heure de pointe, mais ce n'est pas grave, on moins tout le monde aura vu le bonheur dans ses yeux. Elle est montée dans le métro et l'a regardé partir. Lui pensait à celle qu'il avait laissé, deux arrêts plus tôt, elle qui partait vers la gare, vers autre part, à 345 km de là. Elle est partie écrire des lettres, beaucoup de lettres qui assemblées feront des livres, beaucoup de livres, mais pas de place pour lui au milieu de ces mots. Sur l'autre ligne mais à la même station une femme regarde droit devant, elle voit un enfant, assis sur les genoux de sa mère, au dessus une pub, une grande publicité, qui semble le dévorer, " MAANGEZ DES BANANES. " . Il est heureux, il vient de fermer son portable, il y a lu les lettres " G A R C O N " quelques secondes plus tôt, il est aux anges. La femme à côté de lui rentre, de nulle part vu qu'elle n'a plus de travail, elle a un sac dans la main regroupant tous ses effets, c'est fou ce que ça peut être rapide une page tournée. Tous ces gens n"ont qu'une idée en tête, aller quelque part, souvent le même endroit, souvent le même trajet. Tous ces gens ont oubié un détail: Peut-on aller quelque part dans la direction opposée ? Peut-on y aller à reculons? Inconvénient du métro, il ne le permet pas.
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Et d'ici part un grand périple, à cette station , un bruit lourd a retentit, le métro arrivait, une femme a glissé pour l'attraper , rien de grave, le quotidien du métro parisien. Trois stations plus loin il l'embrasse, enfin, elle n'y croyait plus, au milieu de tous les autres voyageurs, heure de pointe, mais ce n'est pas grave, on moins tout le monde aura vu le bonheur dans ses yeux. Elle est montée dans le métro et l'a regardé partir. Lui pensait à celle qu'il avait laissé, deux arrêts plus tôt, elle qui partait vers la gare, vers autre part, à 345 km de là. Elle est partie écrire des lettres, beaucoup de lettres qui assemblées feront des livres, beaucoup de livres, mais pas de place pour lui au milieu de ces mots. Sur l'autre ligne mais à la même station une femme regarde droit devant, elle voit un enfant, assis sur les genoux de sa mère, au dessus une pub, une grande publicité, qui semble le dévorer, " MAANGEZ DES BANANES. " . Il est heureux, il vient de fermer son portable, il y a lu les lettres " G A R C O N " quelques secondes plus tôt, il est aux anges. La femme à côté de lui rentre, de nulle part vu qu'elle n'a plus de travail, elle a un sac dans la main regroupant tous ses effets, c'est fou ce que ça peut être rapide une page tournée. Tous ces gens n"ont qu'une idée en tête, aller quelque part, souvent le même endroit, souvent le même trajet. Tous ces gens ont oubié un détail: Peut-on aller quelque part dans la direction opposée ? Peut-on y aller à reculons? Inconvénient du métro, il ne le permet pas.
Mots d'une inconnue
Lundi 12 octobre 2009 à 22:26
Illusions, vous voyez ces maisons sur l'eau, ces berges. C'est là, c'est là que je rêve d'être depuis 1 mois, Là, là où la musique, l'art et la vie semblent si présents, là où la vie semble si décalée, là où je rêve maintenant de m'échapper, d'y échapper, de m'évader, simplemeent.
Mots d'une inconnue
Vendredi 9 octobre 2009 à 19:07
WAKE UUUP .
WAAKE UUUPP
WAAAAKEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE UPPPPPPPPPPPPPPPPPP.
Non , pas ce matin, pas possible, me rendormir. Se réveiller d'un coup, se rappeler son rêve, avoir l'impression qu'il reste accessible, oui ce matin j'avais l'impression que mon rêve était encore accessible, que j'avais un lien, une corde me retenait à lui, je ne devais pas la lâcher, refermer les yeux et tirer sur la corde, le rattraper, rester dans les rêves, ne pas retrouver la réalité, juste rêver, j'avais les cartes en mains, j'avais les cartes en mains et je ne savais pas ce que je faisais avec, je ne savais pas ce que j'étais censé en faire. Mais rien n'est censé après tout, personne n'est censé.
Et cette chanson que j'écoute maintenant, que j'avais écouté sur la falaise, me disant juste : " Imprègne toi , imprègne toi de ce paysage, juste pour ressentir le vent et entendre la mer en fond dès que tu l'as ré écoutera, juste pour avoir cette sensation de liberté un peu plus souvent que pendant l'été" Cette falaise que je ne pourrais jamais oubliée, ce chemin douleureux jusqu'à la mer que je ne peux m'empêcher d'emprunter à chaque fois, juste pour me sentir un peu plus grande à chaque fois, un peu plus forte, revoir ça, rien, du vide, du vide bleu, mais je veux le voir, j'ai besoin de le voir, de me ramener à ma simple position d'humaine, de réfléchir à chaque fois un peu plus sur l'utilité de certaines interrogations .
Et la pluie s'abat encore sur Paris. Suivit de l'orage. Fatalités .
WAAKE UUUPP
WAAAAKEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE UPPPPPPPPPPPPPPPPPP.
Non , pas ce matin, pas possible, me rendormir. Se réveiller d'un coup, se rappeler son rêve, avoir l'impression qu'il reste accessible, oui ce matin j'avais l'impression que mon rêve était encore accessible, que j'avais un lien, une corde me retenait à lui, je ne devais pas la lâcher, refermer les yeux et tirer sur la corde, le rattraper, rester dans les rêves, ne pas retrouver la réalité, juste rêver, j'avais les cartes en mains, j'avais les cartes en mains et je ne savais pas ce que je faisais avec, je ne savais pas ce que j'étais censé en faire. Mais rien n'est censé après tout, personne n'est censé.
Et cette chanson que j'écoute maintenant, que j'avais écouté sur la falaise, me disant juste : " Imprègne toi , imprègne toi de ce paysage, juste pour ressentir le vent et entendre la mer en fond dès que tu l'as ré écoutera, juste pour avoir cette sensation de liberté un peu plus souvent que pendant l'été" Cette falaise que je ne pourrais jamais oubliée, ce chemin douleureux jusqu'à la mer que je ne peux m'empêcher d'emprunter à chaque fois, juste pour me sentir un peu plus grande à chaque fois, un peu plus forte, revoir ça, rien, du vide, du vide bleu, mais je veux le voir, j'ai besoin de le voir, de me ramener à ma simple position d'humaine, de réfléchir à chaque fois un peu plus sur l'utilité de certaines interrogations .
Et la pluie s'abat encore sur Paris. Suivit de l'orage. Fatalités .
Mots d'une inconnue
Lundi 5 octobre 2009 à 17:03
Tu as vu ? Non ? Moi non plus je ne vois plus, je ne vois pas. Je ne veux plus voir, je vis?
Je marche seule, et un jour je tomberai.
Mots d'une inconnue
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