Vous trouverez sur ce blog au moins un article
par an sur l'incompréhension totale qui m'attaque.
On est le 7 janvier, j'ai épuisé mon Joker.
Et meeeeerde.
Le 22 décembre j'écrivais : Je vais finir par m'enfermer dans la décadence.
Cette phrase est trop vague pour permettre
de m'expliquer ce qu'il a pu ce jour la
par an sur l'incompréhension totale qui m'attaque.
On est le 7 janvier, j'ai épuisé mon Joker.
Et meeeeerde.
Le 22 décembre j'écrivais : Je vais finir par m'enfermer dans la décadence.
Cette phrase est trop vague pour permettre
de m'expliquer ce qu'il a pu ce jour la
me passer par la tête. La décandence
s'offre à moi je crois, je ne la saisis pas,
Mais à toujours refouler ce qui nous suit
on finit par tomber nez à nez dessus. A la
poursuite du bonheur ? Ah ah ah, queue de poisson.
Je vous met les premières lignes de L'étranger de Camus.
On fête après tout les 50 ans de se mort. Je dirais non,
On fête les 50 ans de sa renaissance. La mort d'un
artiste est toujours une renaissance pour lui, tant mieux
après tout. Mais vous savez, "Aujourd'hui maman est morte.
Ou peut être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme
de l'asile: "Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments
distinguées." Cela ne veut rien dire. C'était peut être hier."
Je ne peux pas vous dire pourquoi mais je crois que ces
3 lignes resteront à jamais gravées en ma mémoire.
L'étranger, Camus.
Mais à toujours refouler ce qui nous suit
on finit par tomber nez à nez dessus. A la
poursuite du bonheur ? Ah ah ah, queue de poisson.
Je vous met les premières lignes de L'étranger de Camus.
On fête après tout les 50 ans de se mort. Je dirais non,
On fête les 50 ans de sa renaissance. La mort d'un
artiste est toujours une renaissance pour lui, tant mieux
après tout. Mais vous savez, "Aujourd'hui maman est morte.
Ou peut être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme
de l'asile: "Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments
distinguées." Cela ne veut rien dire. C'était peut être hier."
Je ne peux pas vous dire pourquoi mais je crois que ces
3 lignes resteront à jamais gravées en ma mémoire.
L'étranger, Camus.